Direction le train et l’hôtel pour poser nos affaires, le check in est a 15h, il est 8h00 ….. on a du temps à perdre.
On dort dans nos assiettes ….
Mais la crème brûlée était très bonne 😜
Direction l’hôtel (Sui Kanda by Abest), on attendra dans le lobby d’avoir notre chambre.
On a fini avec des steaks, miammmm !!
J2
Après un pti dej pas vraiment comme je les aime ( soupe, sandwich, yaourt sucré….)
Bon jus d’orange et expresso on est sauvé 💪🏻
On repart pour une belle journée ensoleillée et glaciale 🥶
Nous voulions aller à un observervatoire gratuit au 25eme étage d’un immeuble du gouvernement, manque de bol …. Fermé 🤬
Pour une fois, c’est Nini qui a subi mes boutiques 😜😘
Allez, je suis bon prince je lui paye une bière 🤣
Allez on tente !
Eh ben pas déçu !! Un petit resto avec des écrans pour passer la commande, des brochettes super bonnes, et des croquettes au camenbert, grasses de chez grasse et sans goût de camenbert 😜
J3
Sur la route petit arrêt pour tester des moshis 😜
Asakusa-jinja (浅草神社, ou sanctuaire d'Asakusa), également nommé Sanja-sama (三社様, « sanctuaire des Trois Divinités »), est un sanctuaire shinto situé dans le quartier d'Asakusa, à Tōkyō.
Édifié en 1649 par le shogun Tokugawa Iemitsu, il est dédié aux trois hommes qui fondèrent le temple Sensō.
La légende rapporte que le , sous le règne de l'impératrice Suiko (593-628), deux frères, Hamanari et Takenari Hinokuma, pêchant sur la rivière Sumida, trouvèrent dans leurs filets une statue de la déesse Kannon[1].
Cette découverte parvint aux oreilles du seigneur du village, Haji no Nakamoto[1], qui vint trouver les deux frères et fit un sermon passionné au Bouddha, la déesse Kannon étant un bodhisattva. Les frères Hinokuma en furent fortement impressionnés et se convertirent ensuite au bouddhisme.
Haji no Nakamoto transforma sa maison en un modeste temple et y place la statue de la déesse Kannon[1]. les trois hommes vouèrent ensuite leur vie à prêcher la voie bouddhiste.
En 645, un prêtre bouddhiste appelé Shokai arriva dans la région et construisit le temple Sensō pour la statue. A la suite d'une révélation dans un rêve, il décida de cacher la statue dans le temple, qui l'est toujours aujourd'hui[1].
Le temple prospéra, tout comme le quartier d'Asakusadans lequel il était établi. En 1649, pour rendre hommage aux trois hommes et les élever au rang de divinités, le sanctuaire d'Asakusa fut érigé sur ordre du shogun Tokugawa Iemitsu.
Préservé des bombardements de la Seconde Guerre mondiale, le sanctuaire d'Asakusa a été classé bien culturel important (重要文化財, jūyō bunkazai) par l’administration japonaise en 1951.
Sauf que le menu n’est pas en anglais 🤣🤣
J4
Nous allons jusqu’au bâtiment du gouvernement de Tokyo où se trouve leur « Assemblée nationale » et au 45eme du bâtiment se trouve un observatoire ou en cas de beau temps on peut y voir le montFuji.Loupé pour aujourd’hui.
Mais belle vue tout de même 😊
Le Meiji-jingū (明治神宮) ou sanctuaire Meiji, est un sanctuaire shintoïste situé en plein cœur de Tokyo, dans l'arrondissement de Shibuya, en bordure du quartier Harajuku.
En 1915, une commission choisit un terrain appartenant à la maison impériale et situé à Yoyogi, un quartier de Tokyo, comme emplacement pour la construction d'un sanctuaire dédié aux âmes divines de l'empereur Meiji, mort en 1912, et de sa femme l'impératrice Shōken, morte en 1914, bien que les deux époux reposent à Kyoto[1],[2]. Le sanctuaire a été construit avec un musée de 1912 à 1920 au milieu d'un jardin dessiné par l'empereur et composé de 100 000 arbres donnés de tout le Japon lors de la construction[2],[3].
Le lieu accueille les jeux du sanctuaire Meiji de 1924 à 1942, le principal événement sportif du Japon d'avant-guerre. Le sanctuaire a été détruit par les bombardements de 1945 et reconstruit en 1958, principalement en bois de cèdre[4]. En 1973 a été construit le shiseikan (至誠館), salle d'entraînement aux arts martiaux (dojo)[5]. De 1990 à 1993, un nouveau bâtiment a été construit : le kaguraden (神楽殿), une salle de danse traditionnelle kagura pour fêter les 70 ans du sanctuaire[6]. Une annexe au musée a été construite récemment à l'est du site.
C'est le plus grand lieu de culte shintoïste du pays, où l'on célèbre de nombreux mariages et cérémonies.
Ils ont des copies de gâteau à la broche, mais rien à voir.
Les nôtres sont incomparablement meilleurs 🇫🇷
Putain de pays où tout est en japonais, rien en anglais, galère ! Heureusement dans le resto il y a du wifi gratuit pour mettre le Google translate.
Mais en tous cas c’était bon. Toujours autant de légumes pour Nini, c’est à dire Zéro. C’est pas un pays pour les vegans !
J5
Assez particulier, tout ouvert et autour des tombes, comme des skis en bois, qui doivent être les noms des personnes qui y reposent.
Avec la visite d’un temple sur le chemin.
Pause dej et quelques « découverte culinaire » sur la route.
- brochette de fraise surgelée enrobée de sucre.
- mochi a la fraise
Pas de Nicky Larson , ni de Candy mais «maison Ikkoku » (Juliette je t’aime) pour nini et un vieux « dragon ball » pour moi.
Et pour finir la dernière soirée à Tokyo avant le départ demain pour Hiroshima, petit apéro à l’hôtel!
Et oui de 5 à 7 ils font happy hour!
Mdr… vin rge-vin blc- sakés- plum wine….
Une ptite vieille jap mélange tt et rajoute des glaçons…. Et ça y va 🙈😂
Puis burger frites 🤪
